Et si on parlait un peu d’InDesign aujourd’hui ? Logiciel de PAO (publication assistée par ordinateur) c’est un incontournable pour réaliser de belles mises en page professionnelles. Il appartient à la suite Adobe Creative et évolue aux côtés de ses copains comme Photoshop ou encore Illustrator. De loin mon préféré de la bande, il sert à travailler tout type de projet en conception graphique. Eh oui, il est autant à l’aise pour le digital que pour l’impression. Je sens que votre curiosité est au maximum alors faisons les présentations !
Quel est le rôle d’InDesign ?
Si vous êtes là, c’est peut-être qu’un projet graphique se profile à l’horizon. Et, pour créer un support de communication, web ou print, un outil de conception reste indispensable. La question est de savoir vers lequel se tourner et… comment l’employer. De mon côté, lorsqu’il s’agit de la mise en page, je ne jure que par InDesign. Il faut dire que j’adore son interface mais aussi sa diversité de projets. Plaquettes commerciales, magazines, brochures, dépliants, flyers, rapports d’activité, habillages web ou mobile… C’est un vrai atout pour créer des supports design et élégants.
Utiliser InDesign, Illustrator ou Photoshop : quelles différences ?
Ce qui est pratique avec la suite Adobe Creative, c’est que chaque logiciel est spécialisé dans un domaine. La logique voudrait donc qu’on utilise ce pour quoi le logiciel a été conçu. Mais sachez qu’on peut très bien réaliser des mises en page sur Illustrator (bien que je trouve ça beaucouuuup moins pratique). Tout dépend des habitudes de chacun et de ses préférences. Pas de jugements ici !
Donc, pour faire simple :
- Photoshop (PS) sert aux retouches et montages d’images ou de photos ;
- Illustrator (AI) permet de faire des illustrations ou dessins vectoriels (comme les logos) ;
- InDesign (ID) est à utiliser pour la mise en page des textes et visuels.
On combine souvent les trois pour des projets graphiques professionnels.
D’autres logiciels développés par ADOBE existent aussi tels qu’Adobe XD pour prototyper les sites et applications web et mobiles, Premier Pro (PR), dédié au montage vidéo ou encore After Effects (AE) pour le motion design.
Et… plutôt CANVA ou InDesign ?
Ouuuh : quelle question ! J’imagine que vous n’êtes pas passé à côté du phénomène CANVA, un outil de design graphique en ligne gratuit (avec une version payante). Si ce n’est pas le cas je vous invite à le tester. Je l’ai découvert au tout début de mes études à l’occasion d’un stage (comprenez : il y a maintenant quelques années).
Aujourd’hui je suis vraiment épatée devant son évolution et la variété de ses actions. On ne va pas se mentir, c’est très pratique, surtout avec le besoin constant de produire des contenus visuels pour les réseaux sociaux. Et ça fait gagner du temps tout ça tout ça… En fait je dirais que c’est un excellent outil mais qui a ses limites parce qu’on peut vite se retrouver avec des projets qui se ressemblent tous. La conception graphique ça ne peut pas être résumée à des templates à modifier à volonté. Même pour créer ses propres compositions, cela demande de respecter quelques règles… En résumé, CANVA est à utiliser à bon escient. Pour une personnalisation maximale, on se tournera plutôt vers des logiciels pointus comme InDesign.
Bon à savoir : tous les projets graphiques que je conçois sont mis en page via InDesign. Chaque création est unique en cohérence avec l’image de marque de l’entreprise.
Pourquoi utiliser InDesign en conception graphique ?
1 - Il propose des fonctionnalités de mise en page canons
Grilles, gabarits, règles, styles de texte… InDesign offre des fonctionnalités avancées pour la mise en page. Résultat : il est possible de travailler sur des projets complexes ou plus simples sur une ou plusieurs pages !
2 - Il intègre un support de typographie avancé
Besoin d'un accompagnement pour créer des supports de communication professionnels ?
3 - InDesign est compatible avec les autres outils Adobe
4 - Une exportation optimale pour l’impression
InDesign dispose aussi d’un taaaas d’autres avantages… Mais pour vraiment terminer j’ajouterais qu’il y a la possibilité de créer des bibliothèques (partageables pour les projets collaboratifs) afin de regrouper les éléments d’une même composition. Sans oublier la palette d’outils intégrés qui facilite grandement la mise en forme des projets graphiques ! Bref : une chose est sûre j’en suis dingue !